Dictionnaire digital UX, produit & SEO
Le digital, sans traducteur.
Vous croisez des mots comme backlog, SEO, MVP ou design system sans toujours oser demander ?
Voici notre dictionnaire maison : un lexique clair, utile et accessible, pensé pour aider les équipes, les décideurs et les curieux à mieux comprendre et à mieux collaborer.
UX & Design
UX (User Experience)
L’expérience globale d’un utilisateur avec un produit ou un service.
Ce n’est pas juste une interface : c’est ce que la personne vit, ressent, comprend… ou ne comprend pas.
👉 Un bon UX, c’est quand tout fonctionne sans qu’on ait besoin d’y penser.
UI (User Interface)
L’interface visible : boutons, couleurs, typographies, espacements. L’UI sert l’UX, mais ne la remplace pas.
👉 C’est la forme qui accompagne le fond, pas l’inverse.
Wireframe
Une maquette simplifiée, sans style graphique, qui permet de poser les structures, les parcours, les logiques. On y teste des idées, pas des couleurs.
👉 C’est le brouillon intelligent avant la maquette brillante.
Prototype
Une version interactive d’un parcours (cliquable ou animée), utilisée pour tester ou montrer un scénario. Ce n’est pas un produit fini, mais c’est plus qu’un plan.
👉 Le prototype, c’est le moment où les idées prennent forme sous vos clics.
Accessibilité (a11y)
Concevoir pour que tout le monde puisse utiliser, lire, naviguer quelle que soit sa situation physique, cognitive ou technique. C’est un droit, pas une option.
👉 Un bon design accessible profite à tout le monde, pas juste aux “personnes concernées”.
Design centré utilisateur
Une approche qui place les besoins, les attentes et les usages réels des utilisateurs au cœur de la conception. Pas des suppositions. Des observations, des tests, du feedback.
👉 Ce n’est pas “ce que vous aimez” qui guide le design. C’est ce dont les utilisateurs ont besoin.
Pain point
Un point de blocage ou de frustration dans le parcours utilisateur. C’est souvent invisible si on ne le cherche pas, mais très coûteux si on le néglige.
👉 Identifier un pain point, c’est déjà commencer à le résoudre.
Design system
Un ensemble cohérent de composants, styles et règles qui permet de concevoir plus vite, plus clairement, plus durablement. C’est un outil d’équipe, pas juste un fichier Figma.
👉 Il vous évite de redessiner un bouton à chaque sprint.
Test utilisateur
Une méthode pour observer comment une personne utilise un produit ou un service, en condition réelle ou simulée. On teste l’expérience, pas l’utilisateur.
👉 “Si un utilisateur échoue, c’est rarement sa faute.”
Test qualitatif
Un test pour comprendre comment une personne vit une expérience digitale. On observe, on écoute, on creuse. Peu de personnes, mais beaucoup d’enseignements.
👉 Un bon test qualitatif fait émerger ce que les chiffres ne disent pas.
Test quantitatif
Un test basé sur des données mesurables (nombre de clics, taux d’erreurs, satisfaction…). On cherche des tendances, pas des nuances.
👉 Utile pour valider des intuitions… mais pas pour les découvrir.
Interview utilisateur
Une conversation structurée (ou semi-structurée) pour comprendre les attentes, usages, freins d’un utilisateur. C’est plus de l’écoute que du questionnaire.
👉 Une bonne interview, c’est poser peu de questions mais les bonnes.
Responsive
Un design qui s’adapte aux tailles d’écran (mobile, tablette, desktop).
C’est devenu une base mais une base qu’on rate encore souvent.
👉 Un site responsive, c’est un site qui fonctionne bien, partout, sans effort.
Benchmark
Une comparaison avec ce que font d’autres acteurs (concurrents, proches ou inspirants). Pour savoir où on en est, et où on pourrait aller.
👉 Un bon benchmark donne des repères pas des modèles à copier.
Moodboard
Un collage visuel d’inspirations : couleurs, images, typographies, formes.
C’est un outil de discussion, pas une direction définitive.
👉 Utile pour poser une intention de ton, d’univers, de style.
Parcours utilisateur(s)
La séquence d’étapes qu’un utilisateur traverse pour atteindre un objectif : découvrir, comprendre, agir. Le cœur de l’UX.
👉 Un parcours clair, c’est un utilisateur qui va jusqu’au bout sans se perdre.
Design émotionnel
Un design qui prend en compte les émotions de l’utilisateur : réassurance, plaisir, surprise, confiance… Ce qu’on ressent compte autant que ce qu’on voit.
👉 Ce n’est pas du bling-bling. C’est créer de la relation.
UX writing / Content design
L’écriture au service de l’expérience utilisateur : micro-textes, messages d’erreur, intitulés de bouton… Du contenu clair, utile, actionnable.
👉 Un bon contenu fait gagner du temps. Et évite les “formulaires incompréhensibles”…
RGAA (Référentiel Général d’Amélioration de l’Accessibilité)
Le référentiel officiel pour rendre un site accessible aux personnes en situation de handicap (en France). Indispensable pour les services publics, recommandé pour tous.
👉 C’est plus qu’une contrainte technique. C’est une question d’inclusion.
RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données)
Le règlement européen qui encadre l’usage des données personnelles.
Formulaires, cookies, analytics, consentement… tout le monde est concerné.
👉 Un bon design respecte aussi les droits des utilisateurs.
Product / Produit digital
Product design
C’est l’art (et la responsabilité) de concevoir un produit digital cohérent, utile et viable. Pas juste une interface : une vision alignée sur les besoins réels, les contraintes métier et les usages.
👉 Un bon product design relie intention, fonction et expérience.
MVP (Minimum Viable Product)
Une première version fonctionnelle d’un produit, conçue pour être testée rapidement. Assez simple pour aller vite, assez solide pour apprendre.
👉 Un MVP, c’est un produit qui sert. Pas une excuse pour sortir un truc à moitié fini.
Roadmap
Un plan d’action dans le temps pour faire avancer un produit : ce qu’on va faire, dans quel ordre, et pourquoi. C’est vivant, ça évolue.
👉 Une roadmap, ce n’est pas un calendrier figé. C’est un outil pour prioriser avec lucidité.
Backlog
Une liste organisée de toutes les tâches, idées, évolutions d’un produit.
Ce n’est pas une “todo” infinie, c’est une base de discussion.
👉 “On le met dans le backlog” ne veut pas dire “on l’oublie”.
Sprint
Un cycle court (souvent 1 à 2 semaines) pendant lequel l’équipe produit livre une partie du projet. C’est un rythme, pas une course.
👉 Un bon sprint, c’est moins de rush, plus de clarté.
Product owner (PO)
La personne en charge de représenter les besoins métier dans une équipe produit. Elle priorise, décide, et fait le lien entre les attentes business et le terrain.
👉 Un PO, c’est un traducteur stratégique. Pas un chef de projet déguisé.
Feature (fonctionnalité)
Une action ou capacité précise du produit (ex : s’inscrire, uploader un fichier, recevoir une notif). Utile quand elle répond à un vrai besoin.
👉 Une feature en plus n’est pas toujours une meilleure expérience.
Scalabilité
La capacité d’un produit à grandir sans s’effondrer (techniquement, structurellement, humainement). C’est penser plus loin que la version 1.
👉 Un produit scalable évite d’être refondu tous les 6 mois.
Product-market fit
Le moment où votre produit répond à un vrai besoin… et que ça se voit dans l’usage. Pas une validation théorique, un usage réel.
👉 Si les utilisateurs reviennent d’eux-mêmes, vous tenez peut-être quelque chose.
Discovery
La phase d’exploration et de compréhension avant de produire quoi que ce soit. On y cherche à comprendre le problème, pas à dessiner la solution.
👉 Rater la discovery, c’est souvent réussir à concevoir… quelque chose d’à côté.
SEO et marketing digital
SEO (Search Engine Optimization)
L’art d’être trouvé sur Google… sans payer de pub. C’est structurel, sémantique et stratégique. Et non, ce n’est pas magique.
👉 Un bon SEO, c’est dire clairement ce que vous faites, pour ceux qui le cherchent.
Référencement naturel
Autre nom du SEO. C’est la visibilité “gratuite” sur les moteurs de recherche (par opposition aux liens sponsorisés).
👉 Le référencement naturel ne rapporte pas en 24h, mais il dure beaucoup plus longtemps.
SEA (Search Engine Advertising)
La visibilité payante sur les moteurs de recherche, via des annonces sponsorisées (Google Ads, par exemple). C’est l’autre côté du SEO : immédiat, mais éphémère.
👉 Le SEA, c’est payer pour apparaître. Le SEO, c’est mériter sa place.
Référencement payant
Terme générique qui désigne toute forme de visibilité achetée (SEA, pub sur réseaux sociaux, display…). Utile pour accélérer, mais moins durable.
👉 C’est un coup de projecteur, pas un socle.
CPC (Coût Par Clic)
Combien vous payez pour chaque clic sur votre annonce (SEA). C’est un indicateur utile, mais à mettre en perspective.
👉 Un CPC bas ne vaut rien… si personne ne convertit derrière.
CTR (Click Through Rate)
Taux de clic : le pourcentage de personnes qui cliquent sur votre lien parmi ceux qui l’ont vu. Utile pour mesurer l’attractivité d’un titre ou d’une annonce.
👉 Un bon CTR, c’est souvent un bon titre. Un très bon CTR ? Méfiez-vous : est-ce que le contenu suit ?
Acquisition
L’ensemble des actions qui visent à faire venir un utilisateur sur votre site ou votre app. Trafic, oui, mais qualifié, surtout.
👉 Acquérir pour acquérir ne sert à rien. Ce qui compte, c’est ce que l’utilisateur fait ensuite.
Lead
Un contact “chaud” ou “tiède” : quelqu’un qui a montré un intérêt (inscription, demande de devis, téléchargement…). C’est un point de départ, pas une fin.
👉 Un lead n’est pas un client. C’est une opportunité à nourrir.
Conversion
Le moment où l’utilisateur fait ce que vous attendiez de lui : s’inscrire, acheter, envoyer un formulaire… Elle dépend du contexte, pas d’un seul chiffre.
👉 Ce n’est pas juste un clic. C’est une preuve que le parcours fonctionne.
Mots-clés
Les termes que vos futurs utilisateurs tapent sur Google pour trouver ce que vous proposez. On ne les devine pas. On les écoute.
👉 Un bon mot-clé, c’est celui qui reflète un vrai besoin… pas juste un volume de recherche.
Intention de recherche
Ce que l’utilisateur veut vraiment en tapant une requête. S’informer ? Comparer ? Acheter ? C’est la base d’un bon contenu SEO.
👉 Vous ne parlez pas pareil à quelqu’un qui cherche “comment” et à quelqu’un qui cherche “où”.
SEO local
Optimiser sa visibilité sur les recherches géographiques (ex. : “cabinet UX Chartres”, “site internet professionnel Paris”). C’est clé pour les entreprises ancrées dans un territoire.
👉 Si vous êtes dans la bonne ville mais absent de la carte, vous ratez la moitié du jeu.
Fiche établissement Google (ex-My Business)
Votre carte d’identité locale sur Google : horaires, photos, avis, infos pratiques.
Elle influence (beaucoup) la manière dont vous apparaissez localement.
👉 Ne pas l’optimiser, c’est comme oublier la plaque à l’entrée de votre boutique.
Meta title / meta description
Ce que Google affiche dans ses résultats. Le titre doit accrocher. La description doit donner envie de cliquer.
👉 C’est un peu votre pitch de 2 lignes ne le laissez pas à défaut.
Contenu evergreen
Un contenu qui reste pertinent dans le temps : pas d’actu brûlante, mais un fond utile. C’est la base d’un bon blog SEO.
👉 Un bon article evergreen peut vous ramener du trafic pendant des années.
SEO technique
Tout ce qui concerne la structure, le code, la vitesse de chargement, le responsive… bref, les fondations. Un contenu génial ne sert à rien sur un site injouable.
👉 Un site lent ou mal structuré, Google le voit. Et il le montre moins.
Stratégie de contenu
C’est ce qui relie ce que vous avez à dire… à ce que vos utilisateurs cherchent.
Planification, formats, mots-clés, tonalité, maillage : tout compte.
👉 Une bonne stratégie de contenu parle à Google, mais surtout à vos lecteurs.
A/B test
Un test qui compare deux versions (d’une page, d’un bouton, d’un objet) pour voir laquelle fonctionne le mieux. On ne devine pas, on mesure.
👉 Un bon A/B test évite les débats sans fin en réunion.
Tech & Web
Front-end
C’est la partie visible d’un site ou d’une app : ce que l’utilisateur voit et utilise (interface, boutons, menus, etc.). Ce qui relie le design… à la réalité.
👉 C’est là que vos maquettes prennent vie.
Back-end
La partie “cachée” d’un site : bases de données, serveurs, logique métier. C’est ce qui fait que ça fonctionne, même si on ne le voit pas.
👉 Pas très sexy, mais essentiel. Comme un bon moteur.
CMS (Content Management System)
Un outil pour créer, gérer et mettre à jour le contenu d’un site sans coder. Le plus connu ? WordPress.
👉 Un bon CMS vous permet de rester autonome. Un mauvais… de rester coincé.
API (Application Programming Interface)
Une interface qui permet à deux systèmes de discuter entre eux. Sans elle, vos outils ne se comprennent pas.
👉 Quand votre site envoie vos formulaires à votre CRM, c’est (souvent) grâce à une API.
Responsive design
Un site ou une interface qui s’adapte automatiquement à la taille de l’écran (mobile, tablette, desktop…). Aujourd’hui, c’est la base.
👉 Si un site est illisible sur mobile, c’est qu’il a raté sa responsivité.
Performance web
La vitesse à laquelle un site se charge et répond. C’est technique, mais crucial : personne n’aime attendre.
👉 Un site lent, c’est des utilisateurs qui partent et du SEO qui en prend un coup.
HTTPS
La version sécurisée du HTTP. Ce petit “s” signifie que la connexion est cryptée. C’est devenu indispensable (et attendu) sur tout site pro.
👉 Sans HTTPS, votre navigateur vous dira que le site “n’est pas sécurisé”. Pas terrible.
Nom de domaine
C’est l’adresse de votre site (ex. : serieuxdesign.com). Il est unique, comme un nom de marque. C’est aussi votre première impression sur Google.
👉 Acheter un bon nom de domaine, c’est un peu comme choisir une enseigne qui se retient.
Hébergement web
C’est l’endroit (virtuel) où votre site est stocké. Serveur, cloud, mutualisé… il y a plusieurs options, mais une seule question importante : est-ce fiable ?
👉 Un bon hébergement ne se remarque pas. Un mauvais, si.
Données structurées (schema.org)
Des balises invisibles ajoutées au code pour aider Google à mieux comprendre votre contenu. Elles peuvent améliorer votre visibilité dans les résultats (extraits enrichis).
👉 Ce n’est pas magique, mais ça aide beaucoup pour le SEO surtout sur les FAQ, événements ou avis.
Méthodes & Process
Sprint
Un cycle court (souvent 1 à 2 semaines) durant lequel une équipe produit ou design se concentre sur un objectif précis. Ça structure le rythme… sans forcément courir.
👉 Un sprint bien cadré évite de livrer à l’aveugle, et de finir dans le flou.
Discovery
La phase d’exploration en début de projet. On y comprend les enjeux, les usages, les contraintes, avant de produire quoi que ce soit.
👉 La discovery sert à poser les bonnes questions. Pas à sauter trop vite aux solutions.
Cadrage
Un temps pour définir clairement ce qu’on fait (et ce qu’on ne fait pas). Objectifs, périmètre, contraintes, livrables.
👉 Un bon cadrage, c’est un projet qui démarre dans le bon sens… et qui a une chance d’arriver.
Atelier
Un moment collaboratif où on aligne, on décide, on imagine. Il peut être stratégique, créatif, technique mais il a toujours un objectif.
👉 Un bon atelier produit plus de clarté que de post-its.
Design sprint
Un format court (souvent 4 ou 5 jours) pour résoudre un problème, tester une idée ou concevoir un prototype, avec une équipe pluridisciplinaire.
👉 C’est du concentré d’intelligence collective, avec un cadre clair et des livrables à la fin.
Priorisation
L’art de choisir ce qui compte vraiment, ici et maintenant. On ne peut pas tout faire en même temps — et ce n’est pas grave.
👉 La priorisation, c’est ce qui évite de diluer vos efforts dans 12 directions.
Kick-off
La réunion (ou séquence) qui marque le lancement d’un projet. On y aligne les rôles, les attentes, les étapes.
👉 Un kick-off réussi, c’est souvent un projet mieux vécu et mieux piloté.
Retro (rétrospective)
Un moment en fin de sprint ou de projet pour revenir sur ce qui a fonctionné, ce qui a coincé, et ce qu’on peut améliorer ensemble.
👉 La rétro, ce n’est pas se plaindre. C’est progresser sans tourner en rond.
Livrable
Le résultat concret d’une étape de travail : document, maquette, plan, audit, système, etc. Ce n’est pas toujours un fichier. Parfois, c’est une décision.
👉 Un bon livrable, c’est ce qui vous aide à avancer. Pas juste un truc à ranger dans un dossier.
Feedback
Un retour constructif sur ce qui a été produit, proposé, testé. Il sert à ajuster, pas à juger.
👉 Un bon feedback, c’est précis, bienveillant, et utile des deux côtés.
Design Thinking
Une méthode pour résoudre des problèmes complexes en se mettant dans la peau des utilisateurs. On avance par étapes : comprendre, définir, imaginer, tester.
👉 C’est utile si on le prend comme un cadre, pas comme une checklist à coller partout.
Lean UX
Une approche UX qui favorise l’expérimentation rapide et les retours terrain, plutôt que les gros livrables. On conçoit, on teste, on apprend, on ajuste.
👉 Le Lean UX, c’est faire moins de slides, plus de retours utilisateurs.
Agile
Une façon de travailler par itérations courtes, avec des livraisons fréquentes et un maximum d’adaptation en cours de route. C’est un cadre, pas une religion.
👉 “Travailler en agile” ne veut pas dire “faire tout dans l’urgence”.
Design Sprint
Un format court (généralement 4 à 5 jours) pour résoudre un problème, tester une idée ou prototyper une solution. C’est intense, collaboratif, structurant.
👉 Un Design Sprint bien mené, c’est 5 jours de clarté gagnés sur 5 semaines d’errance.
KISS (Keep It Simple, Stupid)
Un principe de design (et de bon sens) : plus c’est simple, plus c’est clair, plus c’est utilisé. Pas besoin de complexité quand la simplicité suffit.
👉 Simplifier ne veut pas dire appauvrir. Juste aller à l’essentiel.
SMART (Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temporel)
Un cadre pour poser des objectifs concrets. Si ce que vous visez est vague, vous ne saurez pas si vous y êtes arrivé.
👉 Un bon objectif SMART évite les plans qui partent dans tous les sens.
Growth Hacking
Un ensemble de tactiques (souvent marketing ou produit) pour faire croître rapidement une base d’utilisateurs ou un chiffre d’affaires. Souvent créatif, parfois rusé, rarement magique.
👉 Le growth hacking, ce n’est pas tricher. C’est tester vite ce qui peut vraiment marcher.
Un projet en tête ?
On en parle.
Pas besoin d’un cahier des charges béton. Un échange suffit. On verra ensemble si c’est le bon moment et si on est les bonnes personnes.
On nous demande souvent…
Des questions reviennent, naturellement. Voici quelques réponses utiles et si vous ne trouvez pas la vôtre, on est là pour en parler.
À qui s’adresse ce dictionnaire ?
À toutes celles et ceux qui travaillent (ou vont travailler) sur un projet digital sans forcément parler couramment le langage UX, produit, SEO ou tech. Clients, partenaires, juniors, freelances, décideurs : il est pour vous.
Puis-je réutiliser vos définitions ?
Oui, si vous citez la source. Ce dictionnaire est fait pour être partagé dans vos ateliers, vos onboarding ou vos docs internes.
Comment ce lexique est-il structuré ?
Par grandes catégories : UX & design, produit digital, marketing & SEO, tech & web, méthodes & process. Vous pouvez les lire dans l’ordre… ou les picorer.
Ce dictionnaire va-t-il évoluer ?
Oui. Nous le mettons à jour au fil des projets et des retours. Vous pouvez même nous suggérer des termes à ajouter si quelque chose vous échappe !